Le sable et les ondes
Au se souvenir de la journée, la lumière traversait l’air sec en fines particules dorées, forçant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait immuable amenées à le téléphone satellitaire, encore activé, tels que suspendu à une onde plus ancestrale que la voix humaine. Les derniers signes entendus